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ITINÉRAIRE D'UN OCCITAN INDIEN

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LES CHANSONS
Corto - live Cité des Arts

Les textes de DIDIER DELEZAY parlent de ses blessures, de ses amours, de ses envies, de ses emmerdes, de ses indignations et de ses espérances.

 

"L’Occitan Indien" est la carte de visite d’un homme, qui a tissé sa vie en tissant des liens, dont "l’ailleurs est ici", "Je suis un occitan/occitan indien/sur deux plaques tectoniques/troubadour atypique/un Bertrand de Born africain".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Stéphane Guézille

 

Les blessures de l’enfance sont toujours à vif, dans "L’ardoise", "Tu m’avais donné la vie/ tu as mis fin à la tienne/débutait mon amnésie/ta main retient pas la mienne".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Edgard Daguier

 

"L’armistice" c’est le tableau de la séparation d’un couple, "Tant d’années de conflits, de trêves et de fiascos/l’espoir d’une accalmie, repoussée aux calendes/bombes à fragmentations, dégâts collatéraux/ l’aquarelliste peint l’abbaye de Merlande". "Les enfants soldats" du divorce, arrivent à tourner la page à la lumière de leurs propres expériences, "Pavé mosaïque/le blanc et le noir/dodécaphonique/le fil du rasoir".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Stéphane Guézille

 

"Faut-il que j’écrive une chanson", évoque avec humour le regard de la compagne de l’artiste, laquelle jette un regard sur la page d’écriture, "Je subodore une frustration/à mesure que les mots me viennent/de n’pas entendre la chanson/une part de toi qui serait mienne".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Stéphane Guézille

Viennent ensuite les "chansons pour le dire":

 

"Lettre à Jean" , "Ces quelques mots mon ami Jean/pour te dire qu’aux pieds des cités/ celles qu’ils voulurent radieuses un temps/les jeunes sont entrain de rouiller". Chez Didier Delezay, une fenêtre reste toujours ouverte "Cultivons l’Utopie/la terre a cessé d’être/allons vers un pays/qui va naître" scande le refrain. Idem dans "Orphée", "Pour mieux nous museler/ il nous font croire Orphée/que tout serait écrit, résigné!".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Gérald Loricourt

 

"Poor Kwassa", fustige l’indifférence et l’intolérance. "Dans le numéro douze, pour le Bassin Couderc/illuminant le bus dans ton salouva blanc/j’ai senti qu’ton histoire, n’était pas ordinaire/ils te veulent invisible, tu t’affirmes, et pourtant..."

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Stéphane Guézille

 

"La Piéta de Soweto" tire son titre de l’oeuvre picturale d’Ernest Pignon Ernest. Réaction douloureuse au massacre de trente-deux mineurs par la police métissée Sud-Africaine, trente-six ans après le massacre des lycéens de Soweto par les milices de l’apartheid. "Trente-six années après/ils ont osé tirer/dossier mémoires des luttes, cliquez sur effacé/l’Hector Pieterson collégien de douze ans/serait mort pour rien supprimez du bilan", "Mauvais rêve éveillé, meurtre à Marikana/inexorablement s’éloigne Mandela".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Gérald Loricourt

 

"Tes Mains", se passe dans un vestiaire de rugby, une chanson contre l’homophobie en général et dans le sport en particulier. Une époque sans kiné, où les joueurs se massaient mutuellement les dorsaux avant le combat, "Tes mains jamais les oublierai/elles n’étaient que fraternité/ dans le huis clos du vestiaire, jamais/régna la moindre ambiguïté".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Stéphane Guézille

 

Les inclassables, celles où pointe l’amour de l’auteur pour la littérature :

 

"La Bodega de Coco"  une histoire vécue d’amitié virile, dans l’univers d’Antoine Blondin, "Y’a des soirs de singe en hiver/dans la Bodega de Coco/le Yang Tsé s’écoule des vers/ le taureau jauge Nougaro".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Edgard Daguier

 

"On est pas sérieux"  "feuille de route" d’un vieux libertaire tout en questionnement", "On est pas sérieux, quand on a dix-sept ans/écrivait Rimbaud en son temps/ On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans/chantait Léo, avec le temps/j’veux pas être sérieux, quand le temps fout l’camp".

Auteur : Didier Delezay

Compositeur : Stéphane Guézille

 

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